Le rapport annuel du Défenseur des droits, rendu public lundi 18 novembre, affirme qu’il existe un décalage entre les droits proclamés des enfants et les droits réels. La multiplication des cas observés et le manque de moyens des institutions entraînent des défaillances et des situations de violences pour les enfants. La hausse des cas est particulièrement sensible en milieu scolaire. Vingt-deux recommandations ont été formulées par l’Autorité administrative indépendante. La première est de conduire un état des lieux des violences institutionnelles afin de quantifier le phénomène et orienter les politiques publiques. Autre exemple, pour lutter contre l’usage qui perdure, dans certains établissements, des traitements humiliants et des châtiments corporels, est proposée l’inscription de leur interdiction dans le code de l’éducation et le code de l’action sociale et des familles.
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